Valerio lors de la Corrida d’Issy-les-Moulineaux en décembre 2000. Il avait alors 78 ans.…

1 671 courses . 24 24 heures, 83 100 bornes, 91 marathons ! Et beaucoup d’humilité et de courage.

Mon Cher Valerio,
Tu nous as quittés, ainsi que le 26/13. Nous laissant que des souvenirs, de gentillesse, de sympathie, de sourires, et d’exploits, dans la course à pied, que tu aimais tant. Il y aurait tant d’éloges en ce qui te concerne à formuler, que ce serait trop long à énumérer. Tu emportes avec toi, un palmarès inégalé. Que celle ou celui, qui pense avoir autant couru que toi, ose s’avancer, mais là, Valerio, tu ne crains personne, tu es encore le premier. Quel exemple, tu nous as donné, dans ta volonté, ta ténacité de faire, et de finir, sans jamais avoir abandonné une seule course. Un très profond respect de ma part t’accompagne. Repose en paix, mon Cher Valerio, tu resteras à jamais, dans nos cœurs, et nos pensées. Guy E.
Valerio, nous te croyions indestructible, comme le sont tous les héros. Mais tu es parti rejoindre les grands noms de la course à pied : Mimoun, Zatopek, Boxberger… Nul doute que tu retrouveras là-haut Jean le Basque, l’époustouflante Arlette, Guy le Béarnais et Claude le poète qui avait rédigé un texte en ton honneur en … 1991 (voici presque 20 ans !). Vous ne manquerez pas de faire ensemble des courses endiablées dans le Bois de Boulogne comme au bon vieux temps. Et certains coureurs croiront vous revoir au détour d’un chemin, autour du Lac ou de Longchamp. Nous garderons toujours en mémoire l’immense champion anonyme que tu étais. Repose en paix Valerio. Chantal R.
Quelle émotion d’apprendre une nouvelle aussi triste ! Au-delà de ses exploits sportifs impressionnants, à l’image de sa modestie, j’avais la sensation d’une jeunesse intemporelle dans le regard de Valerio et le croiser me faisait du bien : il vous chargeait en ondes positives. Valerio me donnait la sensation d’être habité par l’éternité. Il nous manquera infiniment et c’est à partir de cet instant qu’il deviendra omniprésent dans nos esprits. Puisse-t-il connaître la paix ! Pascal A.
Oh je suis triste, et en même temps le souvenir que j’en ai, c’était un homme délicat, animé par les courses, persévérant, ne lâchant rien, dans le plaisir de l’effort et du temps présent. Et peu importe le résultat, le tout était de participer, d’aller vers là où on sent que c’est son chemin !
Je garde en mémoire son joli sourire ❤😊 Sylvie B.
Valerio était humble et attachant. Je garde le souvenir de son passage sur le podium d’une course/rando 10km dans le bois de Vincennes (courir pour le plaisir), c’était en 2014 ou 2015. C’était le vétéran de l’épreuve !
Pensée pour la famille de Valerio, amitiés à tous les coureurs gars et filles du samedi matin au BdB. Rémi D.
Je me rappelle en 2007, juste après les Foulées de Clamart, dans les vestiaires,Valerio avait le moral dans les chaussettes. Son médecin lui avait préconisé d’arrêter la course….. On sait qu’il a préféré poursuivre et suivre ce que lui disait son coeur et sa passion.
Tant d’humilité et de persévérance ! Ce Monsieur est un exemple pour moi. Jacky L D.
Passage rapide me concernant aux rencontres du samedi matin, mais je garde un très bon souvenir de ce monsieur si pétillant. Amicalement.
Catherine S.
Toutes mes condoléances suite au décès de Valerio.
J’ai fait beaucoup de courses avec lui quand nous étions plus jeunes.
Comme il gagnait souvent dans sa catégorie, nous attendions ensemble la distribution des coupes pour qu’il puisse ramener la sienne avec fierté. Nous admirions sa ténacité. Il n’a jamais abandonné une course. Il a été et restera un exemple pour nous tous. Bon Courage.
Hélène L.
Je viens d’apprendre la triste nouvelle. J’espère surtout qu’il n’a pas souffert.
98 ans, c’est beau. Sacré exemple pour nous tous. Stéphane T.
Notre valeureux Valerio va terriblement me et nous manquer. J’avais et j’aurais tjrs énormément de respect et de sympathie pour notre illustre petit bonhomme, avec un palmarès si prestigieux, surtout sur des distances telles que les marathons, les 100 km, les ultra-marathons et 24 heures, sans oublier toutes les autres épreuves.
Un total qui affole les compteurs, même de ceux qui en ont déjà pas mal à leur propre palmarès, et notre ami en a couru 1 664 sans aucun abandon, c’était sa réelle passion, et il avait une unique supportrice en la personne de sa défunte épouse, qui l’accompagnait dans ces nombreux déplacements.
La course à pieds puis la marche par la suite…, c’était sa vie et c’est ce qu’il l’a maintenue vaillant et debout, jusqu’à cette mauvaise chute de ce jeudi 19/11 lors de sa sortie quotidienne de 4 à 5 km, où il s’est cassé le fémur. Il en a été opéré le mardi 24/11 Et l’opération s’est bien passée. Les médecins ont évoqué qu’il allait pouvoir commencer la rééducation dès le jeudi 26/11.
J’apprends le vendredi 27/11 en soirée, ainsi que Guy et Jacky, qu’il souffre d’un oedème aigu, plus infection pulmonaire.
Mais Valerio était parfaitement conscient !
Et malheureusement ce samedi 28/11 à 18h00, il s’éteint à jamais et laissant un très grand vide autour de lui, surcroît aux membres de sa famille, que j’ai bien connus par le passé. Encore toutes mes sincères condoléances à sa famille.
Plusieurs souvenirs que j’ai eu le plaisir et le bonheur de partager à leurs côtés, de me rendre à plusieurs reprises à leur domicile, et que dire de les avoir invités au marathon des Châteaux du Médoc à 2 reprises, édition 09/2003 & 09/2004 et sans oublier le fabuleux et prestigieux marathon de NYC en 11/2002 pour ses 80 bougies, et on l’a bien fêté dans un resto Brésilien dans Manhattan, en compagnie de Maurice Controu, qui avait 2 ans de plus, et aussi accompagné de sa compagne.
Je pourrais en dire encore beaucoup plus, mais je suis très attristé de sa disparition, qui plus est pdt cette pandémie, car sur cette 2ème période de confinement, on a malheureusement pas eu le bonheur de nous revoir, c’est surtout ça qui me peine, et j’ai encore l’image de le voir repartir tout doucement, avec sa canne direction le métro, lors de notre rdv hebdo de la Porte Dauphine, le samedi 24/10/2020…
Au revoir Valerio, et tu resteras toujours dans mon coeur, et un exemple à mes yeux, chapeau l’artiste. Vas rejoindre ton épouse et repose en paix à jamais … Ton admirateur Éric 🏃🙋
Je suis triste également mais il restera pour nous tous un exemple extraordinaire et je suis soulagée de savoir qu’il n’a pas trop souffert et que son départ ait été si rapide après cette mauvaise chute. Amitiés à vous tous. Vous me manquez et je repense à Jean qui l’aimait tant et avec lequel Il partageait plusieurs courses. Brigitte R.D .
Cela est bien triste en effet d’apprendre que nous ne croiserons plus le sympathique Valerio avec sa persévérance et ses performances sportives si inspirantes.
Toutes mes condoléances à sa famille. Amicalement. Stéphanie R.
Je suis également très très triste … une page se tourne avec le départ de notre Légendaire Valerio, au-delà de ses exploits sportifs, un adorable Grand Monsieur … Je nous revois tous lors sa fête d’anniversaire surprise pour ses 98 ans, il était si heureux, ses yeux pétillants de bonheur comme un enfant … Quelle force tu nous laisses … tu ne lâchais rien qu’il pleuve ou qu’il vente … une volonté de fer … quel exemple … Tu es parti rejoindre ta chère épouse … et je suis sûre que tu vas défier ton copain Jean … La fine équipe est à nouveau rassemblée. Repose en paix, Cher Valerio, tu resteras toujours dans notre cœur, mes filles Ingrid et Astrid se joignent à moi. Suzanne M.
Je m’associe à ces messages élogieux pour rendre hommage à Valerio, moi aussi.
Avec Guy et Claude, il m’a donné l’une des clefs du plaisir de la course : apprendre à courir doucement. Mais je n’ai jamais eu un courage comme le sien, qui me permette d’aller au delà des 42 kilomètres et quelques. En arrivant à la Porte Dauphine, il donnait le sentiment de sortir du métro alors qu’il avait peut être déjà parcouru la route depuis la Porte de Vincennes, et surtout, avec sa sacoche sous le bras. Qu’y avait il donc dans cette sacoche. Au moins, en matière de style, ça le rendait unique.Les autres témoignages décrivent déjà le palmarès qui le rend unique. Je rajoute le souvenir de l’accent des Italien humbles et courageux qui me rappelait celui de mon père. Je vais maintenant me dépêcher de d’aller dans ma bibliothèque pour retrouver la page qui lui était consacrée dans le livre du marathon de Paris, et le saluer.
Coureuses et coureurs du 26-13, je vous adresse mon meilleur souvenir. Portez vous bien. Bruno T.
Quelle émotion, d’apprendre une si triste nouvelle.Il me restera le souvenir de son sourire et de ses yeux pétillants chaque samedi matin Porte Dauphine, quel exemple pour nous de cette longévité dans le plaisir de courir. Et quel palmarès en toute humilité. Valerio, tu deviens une étoile là-haut, continues à nous guider sur le chemin du bonheur du plaisir partagé en course à pied ! Toutes mes condoléances à ta famille. Amitiés sportives. Patrice A.
Oui…la disparition de l’un des nôtres, c’est toujours très triste, mais le souvenir que Valério m’a laissé, lui, ne l’est pas. Bravo pour cet incroyable parcours Monsieur Valerio et merci pour votre exemple. Je vous emmènerai désormais avec moi, dans mes baskets, entre Montmartre et Boulogne. A bientôt tout le monde ! Marion R.
Consterné, je le suis par cette triste nouvelle. L’homme de Florence, l’homme qui grimpait encore et toujours sur cette superbe montagne des records. L’homme discret et chaleureux. Tu nous manques déjà au 26-13 et dans toutes les courses que tu as entreprises et gagnées. Tu resteras à jamais dans nos souvenirs. Amitiés. Hervé H.
J’ai connu Valerio tardivement en venant au jogging de Dauphine le samedi matin. J’admirais la volonté de Valerio de traverser tout Paris pour venir le samedi. Un grand homme avec un beau palmarès. Amicalement. Priscilla N.
Cher Valerio,
Tu nous as quitté mais tu resteras à jamais présent dans nos coeurs comme un exemple de ténacité, d’humilité, de gentillesse et de simplicité. Ton incroyable palmarès et ta longévité imposent le respect. Merci pour tout et reposes en paix. Nicolas A.
Cher Valerio
Tu viens de franchir la ligne d’arrivée de la course la plus importante.
Et bien que nous y participons tous, nous ne pouvons qu’essayer de
suivre ta foulée courte et rapide, qui ne faiblissait jamais. Il ne
s’agit pas d’une compétition mais plutôt d’un parcours où ce qui compte
le plus c’est la personnalité, la force de volonté, la ténacité,
l’humilité, l’amitié et les souvenirs que tu as laissés à tes camarades
de course.
Nous avons été tous touchés par la grâce puisque nous avons eu la chance
de courir à tes côtés. Un grand merci pour nous avoir tant appris.
Désormais puisque tu te trouves de l’autre côté de la ligne d’arrivée,
que tu puisses apprécier un repos bien mérité. Ulf G.
Notre cher Valerio,
Tu étais la mascotte de notre groupe. Nous t’apprécions pour ta simplicité et ta discrétion. Tu aurais pu te mettre en avant tant tes exploits étaient exceptionnels….mais non, tu préférais partager ta passion et vivre la nôtre à travers nos récits, de nos entrainements et courses. Tu ne ratais aucun départ le samedi matin qu’il vente ou qu’il fasse froid. Et pour cela en traversant tout Paris malgré les escaliers et correspondances du métro. Bref, tu étais resté un battant jusqu’au bout. C’est avec autant de simplicité et de discrétion que tu nous as laissé pour prendre un autre chemin de vie. Tu as retrouvé ceux qui t’ont précédé. La Vie est ainsi.
Notre cher Valerio, je te souhaite un bon voyage et ce n’est qu’un « au revoir ». Valérie L.

Retour sur le dernier anniversaire de Valerio




